Eric Grenier
A shady businessman who pretended to be the Hugh Hefner of Quebec…
Propriétaire du bar de danseuses Le Garage, à Mirabel, du magazine pour adultes Québec Érotique ainsi que de plusieurs salons de massage, Éric Grenier – le bum de la télésérie.
Éric Grenier est un homme d’affaires pas comme les autres. Originaire de
Val-d’Or, en Abitibi, il s’est installé à Montréal il y a une dizaine d’années (2000).
« J’ai d’abord ouvert un centre de jardinage, puis le club (de danseuses) Le
Garage et des salons de massage. J’ai aussi fondé la revue Québec érotique »,
explique M. Grenier en entrevue. Le Garage est une boîte aux allures de
discothèque et l’établissement peut accueillir 400 personnes.
Éric Grenier, qui se décrit comme un amateur de designers italiens, du soleil du Mexique, de bijoux, de femmes sexy et de tatouages, il porte également au cou une chaîne avec un médaillon frappé de l’inscription 666 en guise d’appui aux Hells Angels.
«Il ne porte pas de veston ni de cravate mais il affectionne les designers italiens, les bijoux, le soleil du Mexique, les femmes sexy et les “tattoos”»,
«Dans ce milieu-là, tu côtoies un paquet de monde. Si j’étais si proche que ça des motards, je serais en prison. Je suis encore en liberté, je suis un honnête citoyen et j’ai une montre de 100 000 $ dans le bras»,
Produit par IDI, une compagnie appartenant à Anne-Marie Losique, Le bum, les belles et la brute se décline en six épisodes de 30 minutes qui détaillent le mode de vie extravagant d’Éric Grenier : virées en hélicoptère, lave-auto sexy et autres tournois de golf extrêmes. Le tout, sans tabous.
Au printemps 2010, Éric Grenier, qui est également propriétaire du magazine Québec Érotique et de plusieurs salons de massage, avait également fait les manchettes lorsqu’il s’était associé à un docu-réalité produit par Anne-Marie Losique et appelé Le bum, les belles et la brute.
Éric Grenier, qui porterait continuellement des breloques démontrant son appui aux Hells Angels, aurait des liens avec plusieurs hommes d’affaires des Basses-Laurentides, notamment à Terrebonne. Il est vu régulièrement aux galas de boxe et de combats extrêmes.
L’entreprise d’Éric Grenier emploie 100 personnes. « C’est beaucoup de monde à
gérer, mais j’ai une bonne équipe avec moi », ajoute M. Grenier.
On Nov. 20, 2012, Grenier, who claims to be a professional poker player making $50,000 annually
The 41-year-old businessman admitted in a Quebec court that he paid no income tax despite owning five businesses.
La poursuite faisait valoir que Grenier avait joué un rôle de financier et de chef d’orchestre des importations, qu’il a été motivé par l’argent, «qu’il a opéré plusieurs entreprises rentables durant des années et qui pouvait gagner jusqu’à 50 000$ par année durant des tournois professionnels de poker».
Il déplorait la saisie de 20 kilos de cocaïne et précisait avoir perdu $500,000 qu’il avait investis pour l’achat de la drogue.
Hiver 2010
10 juillet 2010
Mon Verdict / My two cents
Un gars devenu riche (en tout cas en apparence) a partir de rien. Quoiqu’un sejour en prison (enfer) au Perou, ca n’a pas de prix!
It’s all about the Money! But don’t mess with the law!